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Notes sur le tag : pierre leyris

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Judas Iscariote de Thomas De Quincey

Photographie (détail) de Juan Asensio. Thomas De Quincey dans la Zone . Affublé d'une postface aussi insignifiante qu'obscure d'Éric Dayre et d'une préface de Pierre Leyris qui elle, heureusement, est claire, Judas Iscariote (1), publié en 1853, n'est pas le plus grand texte, loin s'en faut, de son auteur mais, ainsi que le remarque justement le traducteur dans sa...

Publié le 16/09/2020 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

De l'Assassinat considéré comme un des Beaux-Arts de Thomas De Quincey

Photographie (détail) de Juan Asensio. Thomas De Quincey dans la Zone . Acheter De l'assassinat comme un des beaux-arts sur Amazon . C'est dans un Portrait de Thomas De Quincey assez juste inclus dans Le Mal absolu que Pietro Citati dit de lui qu'il «n’était pas seulement un écrivain : il était, à lui seul, toute une littérature» (1), et c'est ce même Thomas De...

Publié le 01/02/2018 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Emily Jane Brontë, Poèmes, traduction Pierre Leyris —— Écrire après ?

Il devrait n’être point de désespoir pour toi   Il devrait n’être point de désespoir pour toi Tant que brûlent la nuit les étoiles, Tant que le soir répand sa rosée silencieuse, Que le soleil dore le matin.   Il devrait n’être point de désespoir, même si les larmes Ruissellent comme une rivière : Les plus chère de tes années ne sont-elles pas...

Publié le 23/11/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Walt Whitman, dans Pierre Leyris, Esquisse d'une anthologie...

  J'ai traversé un jour une ville populeuse...   J'ai traversé un jour une ville populeuse, gravant dans mon cerveau pour m'en servir un jour ses spectacles, son architecture, ses coutumes, ses traditions, Or à présent de toute cette ville je ne me rappelle qu'une femme rencontrée là par hasard qui m'a retenu pour l'amour de moi. Jour après jour, nuit après nuit...

Publié le 30/04/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

John Clare, Poèmes et prose traduits par Pierre Leyris

                           Bruits de la campagne      Le froissement des feuilles sous les pas dans les bois et sous les haies.    Le craquement de la neige et de la glace pourrie dans les allées cavalières du bois et les sentiers étroits et sur chaque chaussée de rue    Le...

Publié le 29/06/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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